Je t'avais dit
qu'un jour je t'écrirais
mais je n'ai pas écrit...
Je n'ai même pas pensé...
Je t'avais dit
demain chez toi j'irai,
mais je suis resté dans le lit
sans envie de me réveiller...
Mais maintenant
je veux les murs casser,
je veux les tombeaux ouvrir
et tout chercher
sans rien découvrir.
Dans un profond sommeil
sans voir plus le soleil,
je me couche et je me cache
sur mes regrets
rien secrets.
Là j’espère ton appel,
ton toucher,
ta respiration,
ta vie,
toujours dans mon lit
sans ouvrir les yeux.
Je ne veux pas pleurer,
je ne veux pas sourire,
je veux t'étreindre
jusqu'à mourir!
Maintenant je veux t’écrire!
Maintenant j'ai tant à te dire!
Mais toi, tu ne sais plus lire
et la tristesse
est ton adresse,
et mes larmes sont mon encre,
que je peux pas effacer,
je ne pourrais jamais vaincre.
quarta-feira, 1 de novembro de 2017
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"et la tristesse
ResponderEliminarest ton adresse,
et mes larmes sont mon encre"
Um poema muito belo, mas cheio de melancolia.
Uma boa semana.
Um beijo.